mercredi 9 juillet 2014

terminologie de construction

 
 
 
REGARDS : Ce sont des compartiments en maçonnerie ou préfabriqué munis d’un' couvercle amovible ; ils permettent l’accès aux canalisations pour d’éventuels branchements, et notamment pour le curage de ces derniers.

REGARD DE VISITE : Ils permettent la surveillance et le curage des égouts ainsi que leur aération qui est assurée grâce à une fonte sur le couvercle du regard, ce type de regard est prévu dans les cas suivants :
      -   Au niveau de chaque branchement avec un autre collecteur,
      -   A chaque changement de direction (horizontale ou verticale),
      -   Chaque 40 à 50 m d’alignement droit.

REGARD DE CHUTE : Ce sont des regards analogues aux regards de visite, seulement la chute est plus importante, ce type de regard est prévu lorsque les canalisations sont disposées en forte pente, ce qui entraîne des vitesses très importantes, la chute des effluents dans ces regards permet de briser la vitesse d’écoulement.

BOUCHE D'ÉGOUT : Destinées à recueillir les eaux usées de la chaussée, elles doivent être sélectives pour permettre la retenue du maximum de déchets, elles sont généralement disposées sous le trottoir

REGARD AVALOIR : Ils sont généralement placés aux points bas des caniveaux destinés à la collecte des eaux de ruissellement depuis le caniveau jusqu’à l’égout.

REGARD à GRILLE : Ce sont des regards de petites dimensions, couverts par une grille en fonte, il sert à évacuer les eaux de ruissellement des parcs, allées piétonnes et des pelouses.

REGARD DE FAÇADE Ils sont utilisés pour les branchements particuliers, disposés plus près de la façade de la propriété ou bâtiments à raccorder.

REGARD DE BRANCHEMENT : Servent au branchement du réseau sanitaire d’un immeuble au réseau d’assainissement, les regards siphoïdes sont conseillés pour éviter les relents des mauvaises odeurs.

DÉVERSOIRS D'ORAGE : C’est un ouvrage en béton armé de section rectangulaire, sa fonction est d’évacuer les pointes exceptionnelles de débit d’orage vers un milieux récepteur, en d’autres termes, il est prévu pour soulager le réseau sanitaire en période d’orage.


GÉODÉSIE : Science qui a pour objet initial l’étude et la mesure de la forme générale de la Terre,
de sa rotation, de son champ de pesanteur et des différents systèmes de référence employables
pour se repérer. Par extension de langage, le géodésien est celui qui fournit des points d’appui
connus par leurs coordonnées pour les travaux topographiques dont l’objet est ainsi
de densifier considérablement ce canevas de référence.


BANCHES : Sont des éléments verticaux souvent métalliques servant de moules aux voiles. Elles ont la hauteur du mur à construire. Leur taille dépend des fabricants mais elles  sont semblables pour pouvoir couler la longueur de paroi voulue.

ADDUCTION : Désigne le transport de l’eau potable ainsi que les travaux et équipements correspondants. Concerne plus particulièrement son transport du lieu de captage au réservoir en passant éventuellement par une usine de traitement, alors que du réservoir aux utilisateurs on emploie plutôt le terme de distribution.

AÉRODROME : Terrain aménagé pour le décollage et latterrissage des avions.

AFFOUILLEMENT : Excavation, ravinement provoqué par l’action des eaux de pluie ou le courant d’une rivière dans un terrain meuble.

AFNOR : Association Française de normalisation. Organisme chargé de coordonner l’établissement des normes françaises.

ACROTÈRE : Autrefois, petit socle supportant des vases, des statues ou des ornements en corniche. — Dans une balustrade, large potelet ou court muret en maçonnerie interrompant par endroits la série de balustres. — Rebord périphérique placé au dernier niveau d’un bâtiment, au dessus de la terrasse ou du point bas de la toiture, réalisé en maçonnerie, en béton armé ou par prolongement du bardage métallique.



ACIER : Terme générique désignant l’acier utilisé comme armature dans le béton armé et comme armature passive dans le béton précontraint. Il englobe les barres lisses, les barres à haute adhérence et les treillis soudés. Fer allié à une quantité de carbone comprise entre 0,05 et 2 %, de densité 7,85, obtenu par affinage de la fonte (abaissement de la teneur en carbone). Il possède de bonnes caractéristiques mécaniques (résistance à la traction allant de 200 à 2 000 MPa) mais est sensible à la corrosion par oxydation. Il est caractérisé par sa nuance, correspondant à une limite élastique exprimée en N/mm ou MPa. Courbe contrainte-déformation de différents aciers.

Acier allié :
Acier contenant par alliage des éléments autres que le fer et le carbone.

Acier pour béton armé :
Acier fabriqué sous forme de barres cylindriques par laminage à chaud, suivi d’un écrouissage par torsion ou traction améliorant ses propriétés mécaniques. Les nuances d’acier pour béton armé utilisées en France sont essentiellement le Fe E 235 (barres d’acier lisse) et le Fe E 500 (barres et treillis soudés à haute adhérence).

Acier  galvanisé : 
Acier revêtu d’une pellicule de zinc à chaud (galvanisation) afin de le protéger de la corrosion.


ACCOUDOIR : Balustrade ou muret à hauteur dappui.

ACCOTEMENT : Espace situé entre la chaussée et le fossé ou les propriétés riveraines. (profils en travers dune).
Accotement non stabilisé
Accotement ne permettant pas la circulation des véhicules.

ACAJOU : Bois d’Afrique équatoriale rouge brun, à grain fin et plutôt dur, utilisé en particulier pour la fabrication de menuiseries intérieures et de contreplaqués.

ABRASION : Perte de matière, usure d’un élément, suite à un frottement répété, en particulier au contact d’un matériau dur et rugueux.

CÔNE D'ABRAMS : Moule tronconique de dimensions normalisées ( 30, 20 et 10cm ) utilisé pour l’essai d’ouvrabilité du béton frais.



DÉFERLEMENT DES VAGUES : C’est la déformation rapide du profil de l'onde, associé à la production de turbulence. L'onde qui déferle perd ainsi son énergie.

CABOTAGE : Aussi appelé short sea shipping (SSS), consiste en l'acheminement de marchandises et de passagers par mer entre des ports rapprochés c’est le contraire de la navigation de long cours ou bien le bornage.

APPONTEMENT : Ouvrage d'accostage permettant le chargement et le déchargement des navires.

BASSIN DE RADOUB, FORME DE RADOUB ou CALE SÈCHE : Bassin étanche, mis à sec par vidange, permettant l'entretien et la réparation des bateaux.

BRISE LAME : Ouvrage de défense longitudinal des côtes, pour les protéger des actions de la mer en amortissant la houle. Il est constitué d'enrochements ou de blocs en béton.

CAISSON : Structure en béton armé à section creuse monocellulaire, de forme carrée, rectangulaire, trapézoïdale  circulaire...Les caissons sont en général préfabriqués à terre, mis à l'eau, acheminés par flottaison, échoués à leur position définitive et ballastés (remplissage d'eau ou de sable pour résister aux effets de la houle). Mis côte à côte, ils permettent de constituer des digues.

CALE DE HALAGE : Plan incliné sur lequel on entretient à sec  les bateaux.

CALE DE LANCEMENT : Plan incliné permettent de mettre à l'eau un bateau.

OUVRAGE DE DÉFENSE DE COTE : Ouvrage destiné à protéger les côtes contre les effets de la houle.

DIGUE : Ouvrage de protection des zones portuaires contre la houle et les courants. Elle est en général constituée d'un noyau en tout venant, recouvert par des couches d'enrochements ou des blocs préfabriqués en béton de forme parallélépipédique ou des tétrapodes. Elle est surmontée généralement d'une dalle en béton qui facilite la circulation sur l'ouvrage. Une digue, selon sa conception, peut être accostable, insubmersible ou partiellement submersible.

ÉCLUSE : Ouvrage permettant à un bateau de franchir des dénivellations. Elle est située entre deux plans d'eau de niveaux d'eau différents. Dans un aménagement portuaire, elle permet le passage des bateaux du niveau de la mer qui peut être variable en fonction des marées, à des bassins où le niveau d'eau constant.

EPI : Ouvrage de défense mis en place perpendiculaire à la côte. Il est constitué d'enrochements naturels ou de blocs préfabriqués en béton.

ENROCHEMENT ARTIFICIEL : Bloc en béton préfabriqué. Les blocs peuvent être de forme parallélépipédique ou de forme adaptée pour améliorer leur imbrication (tétrapode). Ils sont utilisés pour la réalisation de digues, de brise lame ou d'épis. Ils sont posés à l'aide d'élingues ou à la pince et forment la couverture extérieur d'un remblai en enrochement.

ESTACADE : Ouvrage sur pieux constituant un appontement.

JARLAN : Digue de protection des côtes, constituée de caissons en béton qui comportent des orifices permettant de dissiper l'énergie des vagues de la houle.

JETÉE : Ouvrage de protection d'un aménagement portuaire des effets de la houle et des courants.

MOLE : Ouvrage de protection de l'entrée d'un port.

OUVRAGE D'ACCOSTAGE : Ouvrage permettant aux navires de s'amarrer dans un port pour effectuer leur chargement ou déchargement.

PONTON : Structure flottante permettant l'amarrage des bateaux dans un port.

QUAI : Ouvrage servant à l'accostage des bateaux.
Il peut être :
    - massif, en béton coulé en place, en paroi moulée ou constitué de blocs ou de caissons en béton préfabriqué,
    - sur appui, constitué d'une plate forme en béton armé reposant sur des piles et des pieux en béton armé.

STRUCTURE OFF SHORE : Structure située en mer dans une zone d'exploitation pétrolière.

TÉTRAPODE : Bloc en béton préfabriqué, constitué de quatre parties de forme tronconique. Les tétrapodes sont utilisés pour la confection de quais ou de jetées.

WHARF : Appontement perpendiculaire à la côte.

FAÏENCAGE : Réseau maillé de fissures se produisant dans les couches de surface d'une chaussée.
FISSURE : Ligne de rupture qui apparaissent dans la couche d'une chaussée.
FLUAGE : Écoulement sans décohésion d'une substance visqueuse ou plastique soumise à une force constante ou non.

FLASHES : Dépression localisées de la surface de la chaussée.

PELADE : Décollement total ou partiel d'une couche de surface sur des zones plus ou moins localisées avec mise à nu de la couche inférieure.

PLUMAGE : Présence à la surface d'une chaussée de gravillons roulants arrachés ou décollés du revêtement.

RESSUAGE : Phénomène parfois complexe qui se caractérise par la remontée de liant vers la surface du revêtement.

NIDS DE POULE : Cavités de forme arrondie et à bords francs que peut créer la circulation à la surface de la chaussée par enlèvement de matériaux.

PEIGNAGE : Décollement longitudinale des gravillons dû à l'insuffisance ou à l'absence de liant au moment d'épandage.

BRÛLAGE : Opération qui consiste à détruire par combustion le liant en excès des chaussées hydrocarbonées présentant des ressuages et des glaçage.

IMPRÉGNATION : Pénétration d'un liant par la surface d'un sol ou d'une assise sous l'effet des forces de capillarité.

HERSAGE : Opération qui consiste à incorporer une émulsion de la distillation du goudron de houille, utilisé pour amollir les bitumes.  

LAITIER : Résidu minéral de la préparation de la fonte dans les hauts fourneaux, sortant du trou de coulée de 1 750°. Refroidi brusquement, il donne un produit granulé comportant 45 à 50% de chaux, 25 à 30% d'alumine et 10% d'oxydes divers. C'est un véritable ciment lent.

POUZZOLANE : Produit naturel d'origine volcanique, composés de silicate et aluminates.

FILLERS : Produite obtenus par broyage fi de certaines roches, agissant uniquement par leur propriétés physiques, inertes sur le plan chimique.

FLUIDIFIANTS : Produisent une dé-floculation de la pâte de ciment, et jouent un rôle de lubrifiant sur la paroi des grains ( lignosulfonate de calcium ).

ENTRAÎNEUR D'AIR : A base d'huile ou de résine, qui réalisent dans le béton des bulles microscopiques de diamètre 50 à 100 micro qui le rendent plus plastique en même temps que moins perméable et moins sensible au gel. 

COUP DE BÉLIER : Phénomène de surpression qui apparaît au moment de la variation brusque de la vitesse d'un liquide, par suite d’une fermeture/ouverture rapide d’une vanne, d'un robinet ou du démarrage/arrêt d’une pompe.

CENDRES VOLANTES : Fines poussières dans les dépoussiéreurs à la sortie des chaudières des centrales thermiques. Elles comportent de la silice amorphe.
PLASTIFIANTS : Produits d'addition inertes pulvérulents et très fins, tels que le Kieselguhr ou silice fossile, la bentonite...

ANTI-BÉLIER : Système utilisé en plomberie. C'est un dispositif destiné à amortir l'onde de choc provoquée par la fermeture rapide d'un robinet ou d'une vanne. Cette onde de choc est appelée coup de bélier.
Cet objet est souvent constitué d'un bocal étanche, connecté d'un côté au réseau, là où l'on doit amortir les coups de bélier. À l'intérieur de ce bocal se trouve une membrane en caoutchouc séparant d'un côté le liquide et de l'autre côté, un gaz ou de l'air sous pression.
Lorsqu'un coup de bélier s'enclenche, la surpression engendrée vient faire rentrer le liquide dans l'antibélier, déformant la membrane. De ce fait, le coup de bélier se trouve atténué sur le réseau se trouvant après l'antibélier.
Certains antibéliers ne comportent pas de membrane, ce qui pose un petit problème car, le gaz se dissolvant dans le liquide, il perd au fil du temps son effet amortisseur. Il faut donc, de temps en temps, réinjecter de l'air.

PRESSOSTAT : Dispositif détectant le dépassement d'une valeur prédéterminée de la pression d'un fluide. L'information rendue peut être électrique, pneumatique, hydraulique, mécanique,....
Ils sont utilisés par exemple en provoquant le démarrage d'un compresseur d'air ou d'une pompe si la pression de circuit contrôlé descend au-dessous d'une limite déterminée.

CONTACTEUR : Appareil électrotechnique destiné à établir ou interrompre le passage du courant, à partir d'une commande électrique ou pneumatique. 

BÉTON DÉSACTIVÉ : Béton avec un parement externe rugueux et laissant apparaître les granulats grossiers du squelette du béton. Ce béton est obtenu par la pulvérisation d'un désactivant sur la surface du béton puis un rinçage au jet d'eau à haute pression.

BÉTON IMPRIME : Béton imprimé est un bétons architectoniques, répondant essentiellement à une conception architecturale ou esthétique, conjuguée ou non à une exigence de résistance et durabilité selon l'usage fait du béton. Ce béton est obtenu grâce à l'application de moules ou de matrice sur la surface du béton frais ou en phase de durcissement.

BÉTON A FIBRE : Les bétons comportant des fibres de polypropylène sont destinés pour limiter la micro-fissuration de surface et éviter ainsi l'utilisation du treillis anti-fissuration. 

L'utilisation des fibres de polypropylène ne remplace pas le treillis soudé (de structure) visant à doter le béton de la résistance à la traction nécessaire. 


BÉTON COLORÉ : Béton de couleur distincte de la couleur usuelle du béton, obtenue par l'ajout au béton, au moment du malaxage, de pigments naturels, aussi bien avec du ciment gris que du ciment blanc.

1 commentaires:

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